Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

01/07/2016

tribune publiée dans le "lien craonnais" n°6

Il y a quelques mois, il était question d’accueillir à Craon une ou deux familles de réfugiés.

Faute de réfugiés, le logement prévu à cet effet vient d’être réaffecté. Car les minorités persécutées préfèrent rester sur leurs terres (avec l’aide d’ONG ou s’investissent notamment plusieurs jeunes mayennais) plutôt que s’exiler.

Le cruel de l’histoire, c’est le cynisme qui consiste à habiller de générosité une opportunité financière : Car les réfugiés sont des locataires recherchés par certains investisseurs qui savent que les loyers sont pris en charge en totalité par l’Etat et défiscalisables par-dessus le marché.

La misère des uns fait la petite rente des autres. Il n’y là rien de généreux.